29 avril, 20:42

Quelques heures de couleur, notre lycée terne éclairé. La fatigue qui pèse sur les paupières le lendemain. Nous n'étions plus que des ombres heureuses. Et dans tout ça, toi, qui vient rôder un peu dans mes pensées émiettées. Une heure de "comme avant". Mon corps engourdi de souvenirs qui tente de vaincre les futures illusions. Je t'aime encore parfois, comme dirait mademoiselle k. Mon porte-monnaie tout vide qui m'embête. Et les beaux messages brefs de mon amie préférée. La perfection serait presque au rendez vous. Je n'ai qu'une seule requête : que ça dure.


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26 avril, 18:29

C'est dommage, j'étais bien ici. J'aurais une foule de photos à mettre mais voilà, cowblog refuse. Quelle tristesse. C'est bien la première fois que j'étais bien quelque part. C'est con une page internet, mais je commençais à en faire un chez-moi. Avec mes mots, mes images, et tout le tralala. Il va falloir trouver une solution, ça oui. Je ne changerai pas de lieu.

Sinon, ça va. C'est ridicule à dire n'est ce pas ? Et pourtant, il en faut du courage et des preuves pour l'affirmer sans mentir. Ma vie prend un sens, de projets en projets. Je me sens aimée. Quant à savoir si moi j'aime, je ne préfère pas y penser. Les semaines s'enchainent, dernière ligne droite, à perdre haleine je cours vers l'été. Quelle merveille, l'été.

19 avril, 1:01

Il me semble sentir des ailes pousser du coeur. Je me sens si légère dans mon bazarre amoureux. Je me sens prête à aller affronter les tourments de la mer, prête à mettre un peu d'ordre dans mes pensées, prête à profiter de mon statut privilégié. Je suis son secret. Son petit trésor enfoui au fond du coeur, qu'il ne quitte jamais. Nous allons vagabonder, chacun de notre côté, vers d'autres horizons. Ces autres contrées que j'adule, dont je joue un peu trop pendant qu'il se glorifie de conquêtes en conquêtes. Je n'ai jamais demandé l'exclusivité à personne. Je me suis juste installée de manière à ne jamais être détrônée. Et ça marche. Parce que personne n'est assez fort pour nous séparer. Parce qu'il nous faut peu de temps pour nous retrouver.


COWBLOG VEUT PLUS QUE JE METTE DE PHOTOS. F!@*K.


http://www.youtube.com/watch?v=AzrXY-FHwS8&feature=related


16 avril, 13:36

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15 avril, 23:00

Pardonne-moi mon amour, pardonne-moi. Pourquoi cette histoire effilée ? Ces instants suspendus si brefs ? Je n'ai pas eu le temps. Je n'ai jamais eu le temps de dire ton importance. Ma froideur et ma distance étaient nécessaires. Pour oublier, pour vivre, pour attendre. Sans prévenir, tu arrives toujours lorsque mon coeur est à un autre. Je n'ai encore pas su te donner ce que tu méritais. Je le sais, crois-moi. Les rues de Paris l'ont hurlé tellement fort. Ma clope, les lumières et la nuit l'ont hurlé bien plus fort. Si fort que j'arrive à m'en vouloir de n'avoir pas su dire ton importance.
Nous sommes en pointillés.


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14 avril, 23:55


Article nocturne. J'aime Paris la nuit, les lumières, les gens farfelus.
Les champs élysées. Et mes sentiments qui naissent.


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14 avril, 11:37

Victoire. Sur mes histoires salies, sur mon désespoir inutile, sur mes illusions trop grandes. Je n'attends plus rien. A la poubelle ils sont, à la poubelle. J'espère qu'ils pourrissent dans leurs déchets, dans les ordures puisque c'est la seule chose qu'ils savent faire. Promettre et s'enfuir. Et dire que c'est eux, les hommes. Ah !
Je me vomirais presque de les avoir choisi, j'en veux à mon corps tout entier d'avoir été aussi stupide, au coeur d'avoir battu pour les pires. Je n'ai plus peur, moi. Je n'ai plus froid aux yeux, ils ne sont que des miettes de souvenirs. Je n'ai plus peur des souvenirs.
Je traine à présent ma carcasse. Les jours de démons, comme je le dis souvent. Oui, ces jours là, je me hais. J'aime trop fort, j'étouffe du pas-assez que je donne. Je les choisis comme des victimes, je m'aggripe fort, je veux qu'ils vacillent, puis, dans un dernier soupir, lorsque la proie est enfin conquise, je m'en vais. Je n'ai pas d'explication.
Mon coeur n'est pas à l'heure, et ma lassitude toujours en avance. C'est tout.


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13 avril, 12:23

J'aime toujours autant Paris, et les gens que j'y vois. Mes oreilles dansent au rythme de bob marley avec ses bad boys et laruekétanou avec ses hommes que j'aime. Que demander de plus ?

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11 avril, 14:47

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Quelques brides de printemps, fêté comme il faut. Mon brouillard s'estompe, je comate moins.
Et ce soir on remet ça, et ce soir on remet ça.

9 avril, 23:30

Mon coeur solitaire s'enrhume parfois lorsqu'il verse ses dernières larmes. Mon propre point final le morcelle, il m'arrive encore d'avoir mal. Mon corps tout entier te rejette et te respire. Je ne te cherche plus, mes yeux restent figés sur lui, droit devant, fiers d'avancer seuls. Les tiens, à toi, se sont éteints et ton manque d'intérêt pour mes silences me conforte dans mon oubli. Je ne veux plus de ces souffrances interminables, de ton fantôme manipulateur, de ma provocation vaine. Il ne faut pas jouer avec le feu. Alors tu vois, moi aussi je m'endors, je m'égare et nous mets aux oubliettes.


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