Mon coeur solitaire s'enrhume parfois lorsqu'il verse ses dernières larmes. Mon propre point final le morcelle, il m'arrive encore d'avoir mal. Mon corps tout entier te rejette et te respire. Je ne te cherche plus, mes yeux restent figés sur lui, droit devant, fiers d'avancer seuls. Les tiens, à toi, se sont éteints et ton manque d'intérêt pour mes silences me conforte dans mon oubli. Je ne veux plus de ces souffrances interminables, de ton fantôme manipulateur, de ma provocation vaine. Il ne faut pas jouer avec le feu. Alors tu vois, moi aussi je m'endors, je m'égare et nous mets aux oubliettes.
Parle.
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D'ailleurs je vais voir la mer bientôt...Une semaine à Barcelone. J'ai trop hâte !