Quelques heures de couleur, notre lycée terne éclairé. La fatigue qui pèse sur les paupières le lendemain. Nous n'étions plus que des ombres heureuses. Et dans tout ça, toi, qui vient rôder un peu dans mes pensées émiettées. Une heure de "comme avant". Mon corps engourdi de souvenirs qui tente de vaincre les futures illusions. Je t'aime encore parfois, comme dirait mademoiselle k. Mon porte-monnaie tout vide qui m'embête. Et les beaux messages brefs de mon amie préférée. La perfection serait presque au rendez vous. Je n'ai qu'une seule requête : que ça dure.
Parle.
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://dontworrybehappy.cowblog.fr/trackback/2991337
<< Présent
Je me cherche un nouveau nom de blog pour plier bagages rapidement. J'ai besoin d'ailleurs.