Enfin, lorsque la nuit tombe, les minutes s'écoulent doucement. Enfin, je respire un peu, la tête hors des responsabilités, des obligations et des contrariétés. Il y a quelques beaux moments suspendus, finalement. Il fallait prendre le temps de s'en souvenir. Trouver l'instant, la seconde, la minute peut-être, où le calme revient triomphant, inonde l'esprit de bien-être, pour relativiser cette étendue de désordre. A l'infini, le désordre. Ca me donne le tournis tout ce travail, quelle connerie le bac mais quelle connerie. Tous ces spectacles à assurer et les premières épreuves qui approchent. Tout gérer sans rien négliger... Une concentration qui bouffe l'énergie et occulte les veillées salvatrices, comme ce soir. Déjà mes yeux se ferment, je m'en vais rêver de nous.
Parle.
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