25 août, 0:07

La nuit ouvre les blessures qui restaient interdites. Tu es adroit, hein, le pire menteur que je n'ai jamais connu, j'applaudis, tu salis tout, tout, ce passé que j'essayais de sauver. C'est simple : je ne veux plus entendre parler de toi. Tu n'as plus rien à faire dans ma vie, j'aspire à plus de simplicité, de sincérité. Toutes ces qualités qu'il avait, qui ont pris le train. Pourquoi celui qui vous va doit partir, cette séparation non désirée. J'aime puissance mille et ça fait tellement mal. Tu me rappelles seulement son absence, tout ce gachis que tu as fait, et grâce auquel, au final, je l'ai trouvé.
Avec tous ces préparatifs de départ, toute cette agitation mentale parce que je me démène pour ne pas penser, je fais tout ce que je peux pour être bien là bas. Tout ce stresse qui commence à s'accumuler. Partir permettra de faire le vide, chaque retour dans cette ville m'asphyxie, cet air pollué de souvenirs et de douleurs, j'irai commencer ma vie ailleurs.

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