J'aurais aimé ce soir me jeter sur les mots publics de mon cowblog. Je n'arrive plus à écrire ici, pas pour l'instant. J'oscille entre bonheur absolu et déprime de printemps : c'est les giboulés de mars dans mon crâne. Ca tombe bien. J'ai vécu à toute allure ces dernières semaines, avec l'Angleterre, ça m'a fait du bien. A mon dos beaucoup moins.
J'ai le coeur percé. Tout l'amour qu'on me donne, je l'abandonne.
C'est tout ce que je sais.
J'ai le coeur percé. Tout l'amour qu'on me donne, je l'abandonne.
C'est tout ce que je sais.